Roi Arthur

Nom : Arthur aussi dit Arthur Pendragon

Age : 28 ans

Classe Sociale : Roi de Bretagne

Histoire :

Uther Pendragon convoitait depuis fort longtemps l’épouse de son vassal, Goroi, Duc de Cornouailles. En vérité, la blonde Ygerne passait pour être la plus belle femme de son temps et sa réputation d’épouse fidèle et dévouée s’étendait dans tous les recoins de Bretagne, faisant la fierté et l’honneur de son époux.
Une telle convoitise, même venant du Roi ,pouvait certes témoigner de la sincérité des ménestrels qui comparaient sa beauté à l’Aurore. Mais aux yeux de la loi, les liens vassaliques étant bien plus forts que ceux du sang et du cœur: ce n’était rien d’autre que félonie. Pourtant la passion s’était emparé du Roi Uther et il n’était rien d’autre qui lui importait plus que de posséder pour toujours la femme interdite…
Un projet fou naquit en son esprit ainsi embué par l’amour. Envoyant le Duc à la guerre contre les barbares, il pénétra dans le château de celui-ci et ce grâce à l’aide de son conseiller druide, Merlin, qui passait pour être lui-même un art de la mystification. Déguisé et grimé, il trompa tous les serviteurs qui crurent reconnaître là leur maitre revenant du combat et lui firent tous les honneurs. Il arriva sans peine jusqu’à la chambre maritale. Là Ygerne le vit et fut comme tous les autres dupés. Elle se précipita aux pieds de son "époux", le baignant de larmes de joie et en cette nuit, Arthur fut conçu. Cette même nuit, bien loin sur les côtes face à l’Irlande, Goroi périt d’un coup de lance, criant bien haut la gloire de son Roi...
La nouvelle parvint tôt en Cornouailles et Ygerne crut mourir de chagrin, très vite remplacé par la honte… Alors Uther, pour sauver l’honneur de son aimée et voir son héritier grandir, la prit pour épouse et fit d’elle sa Reine.

Ygerne comprit plus tard, en voyant le petit Arthur, qui l’avait visité cette nuit là.
Très tôt celui-ci se comporta en Roi. Non seulement grâce aux enseignements d’élite qui lui étaient dispensés, mais aussi, tous le reconnaissaient, dans sa nature même. L’enfant montrait une vivacité d’esprit peu commune et une avidité de connaissances sans limites. Bientôt, alors que ses petits camarades jouaient avec des épées en bois, il maitrisait la géographie, le latin, la théologie, l’art de la guerre et un peu de la science des astres… Autant pouvait-il se montrer doux, tendre et rieur avec sa mère dans l’intimité, autant devant son père s’appliquait-il à se montrer brave, voire même téméraire, ne parlant point trop et éxécutant les ordres comme tout autre jeune aspirant chevalier.
Il ne se rappelait que trop bien un matin d’hiver où il était resté fiévreux au lit au lieu de courir à ses entraînements en plein air, Uther avait fait irruption dans sa chambre et l’avait tiré sans plus de ménagement hors de ses draps vers l’extérieur en chemise de nuit et pieds nus dans la neige. Plus encore il se rappelait de ses paroles : "Les Rois ne sont pas malades, mon fils. Ils meurent, c’est tout"
Oui certes Uther était dur et affable, mais il s’interdisait à lui même ce qu’il interdisait à son fils. On le reconnaissait comme un Roi sévère, mais juste. Sous son règne, aucune révolte interne n’avait éclatée et aucune crise majeure n’avait été à déplorer. A sa mort, il laissa à Arthur un royaume pacifié dans ses frontières mais assaillit de toutes parts par les barbares…

L’accession au trône de Bretagne d’Arthur se fit sans transition, mais sans réel bouleversement pour lui. Il avait déjà été adoubé par son père bien des années auparavant et avait gravit les échelons de la gloire avec succès mais sans faveur aucune, s'efforçant de prouver bien plus que les autres sa propre valeur. C’est à partir de là qu’il comprit les actes et l’attitude passée de son père, la valeur de tout son héritage et les sacrifices autant que les jouissances qu’il procurait.
Les premières années de son règne ne furent pas de tout repos, les frontières devaient être consolidées, l’île de Bretagne était le point de mire de tous les peuples en soif de conquête… Et Arthur, d’une maturité exceptionnelle, se perdait corps et âme dans cette bataille, n’imaginant aucune vie en dehors de la guerre, des conseils et de la fraternité crée avec ses plus fidèles compagnons. Alors qu’il atteignait ses 25 ans, son peuple s’étonnait de ne point le voir prendre femme qui lui donnerait un hériter au plus tôt… Avec le rythme de vie qu’il menait, on ne doutait pas que, malgré toutes ses qualités, il risquait de passer d’une bataille à l’autre de vie à trépas et alors on osait imaginer ce qu’il adviendrait de l’unité si chère du royaume…

Hasard du destin, ce ne fut que lorsque les troubles se furent très notablement calmés et que le royaume entrait dans une ère de paix durable et sans précédent qu’on lui suggéra de choisir en fianciailles la fille du seigneur Léodagan, la belle Guenièvre. Elle était d’une beauté aisément égale à celle de sa mère Ygerne, à ceci près que sa chevelure sombre rappelait plutôt le charme de la nuit. Son port était noble et altier et on la disait loin d’être sotte et d’un bon cœur. Il n’en fallait pas plus au jeune Roi pour se décider : puisqu’il lui fallait prendre femme, ce serait elle et nulle autre, car elle semblait digne du rang de Reine.
Tel était l’apparente désinvolture qu’il affichait devant ses conseillers. En réalité, le souvenir de sa première rencontre avec la jeune pucelle, un an auparavant, était demeuré vif dans l’esprit d’Arthur. La seule et unique fois où il avait su considérer une demoiselle à juste titre et où son cœur avait été ébranlé.
Oui, ce serait elle et nulle autre, parce qu’il l’aimait. Du moins, cela ressemblait en tout point à cet chose dont sa mère lui lisait les histoires dans sa tendre enfance…

A présent âgé de 28 ans, Roi puissant et vénéré, il exerce une autorité sans faille sur son royaume. Il doit malgré tout constater que ses chevaliers ne sont pas fait pour la paix… Bien qu’il tienne régulièrement conseil avec ses compagnons les plus loyaux, qu’il organise de fréquents tournois pour dérouiller leurs armures, il est évident que ceux-ci s’ennuient dans la quiètude de Camelot. Le vieux conseiller de son père, Merlin, qui le guide toujours fidélement et sagement, lui conseille de les envoyer en quête d’anciennes reliques afin de plaire de ce fait à l’Eglise elle-même…
De son union avec Guenièvre, aucun héritier n’a vu le jour. Comme tous l’avait fort bien vu, celle-ci exerce son rôle de Reine à la perfection, toujours obligeante et dévouée. Depuis son mariage, Arthur a bien eut la confirmation que ses sentiments envers elle étaient bien de l’amour. Un amour tendre et profond. Malgré tout, une sourde inquiétude le troublait de temps à autre. Dans son regard, il croyait parfois voir de la mélancolie, peut être même de la tristesse, une pointe d’ennui aussi fort certainement…


Psychologie :

Est-il utile de préciser qu’Arthur est un homme droit et intègre ? Son sens aigu du devoir est le pilier central de sa vie. Il n’est rien qu’il estime plus que l’honneur, la loyauté, le courage et un esprit bien fait. Ce sont ces qualités qu’il recherche dans son entourage, ne tolérant pas la médiocrité.
Certains le jugent taciturne, la vérité est qu’il ne parle pas pour ne rien dire. Il aime à placer le bon mot au bon endroit et de construire un discours cohérent. Ces traits, il les tient de son père essentiellement et son les héritages directs de sa formation au métier de Roi.
Sa mère lui a donné d’elle, une tempérance à la fougue guerrière et, en revanche, une entière plénitude des sentiments, en même temps qu’une tendance à la compassion et à l’écoute de son prochain. Peu le savent mais ses chevaliers le considèrent, en plus d’être un frère d’arme, comme un frère de sang auprès duquel il n’hésitent pas à rechercher conseil pour des affaires autres que purement politiques. Sa plus grande fierté réside dans son oeuvre de pacification et de grandeur de la Bretagne. Le royaume est aux portes de l'apogée et il entend bien qu'aucun péril d'aucune sorte ne mette l'héritage de ses ancêtres et l'avenir de son peuple en danger.

Les mariages royaux étaient rarement fait de passion. Guenièvre n’en montrait guère à son égard. Lui même réprimait la sienne qui bouillait derrière le pragmatisme du Roi, car il n’était pas là pour se donner en spectacle. Mais cela ne l’empechait pas de réfléchir profondément à cette distance… Peut être ne ressentait-elle pas ce même feu qui le consumait à sa seule vue ? Si cette pensée certes assombrissait son cœur, il la chassait vite et ne montrait jamais aucune amertume. Aurait-il seulement pu lui en vouloir ? Non, il ne savait lui tenir rigueur de quoi que ce fut… Si parfois elle se dérobait à ses caresses et gestes tendres, elle ne faisait jamais preuve d’irrespect et le faisait avec grâce, si bien qu’il lui arrivait de se blâmer intérieurement de paraître si pressant. Parfois aussi, il ne pouvait réprimer un vent d’agacement très vite soufflé. Il mettait sa réserve sur le compte de son caractère, de son éducation aussi et puis surtout de son âge nettement inférieur au sien… Il comptait sur le temps pour laisser les fondations de son mariage se consolider et pour apprivoiser doucement sa « jeune colombe » comme il aimait à l’appeler.


Description Physique :

De grande et belle stature, on dit de lui que sa seule présence impose le respect et les ménestrels les plus audacieux chantaient même qu’à sa vue, tout homme d’honneur lui prêtait immédiatement une allégeance sans faille. Ses cheveux noirs de jais et ses yeux gris faisaient de lui le portrait réminiscent de son père, même si s’il n’en avait pas les traits si durs, son visage respirait un certaine sagesse sereine.
A le voir ainsi dans son château par temps de paix, il est difficile d’imaginer, pour ceux qui ne l’avaient point connus dans ses années de jeunesse, le guerrier fougueux qu’il avait été pour défendre son royaume et en faire ce qu’il était devenu. Des cicatrices trahissent cette période tourmentée un peu partout sur son corps. Elle sont le miroir de son feu intérieur dissimulé sous la façade placide qu’il affiche et qui brûle de temps à autre dans ses prunelles…

Ouaich comment que tu t'l'as joue! Ouaich ouaich tu te mets direct en post it!
Et si moi jtrouv que c'est d'la daube ta fiche? Ouai tu fais quoi? Hein? Tu fais quoi? LOL

Nah mais c'est suuuuuuuuuuper! bravo bravo Evy! Ca valait le coup de te coucher à une heure du mat :p

Sinon y a un point à m'éclaircir ma lanterne (normal ça concerne ta jeune colombe mdrrr [j'adore ce surnom en passant ]) Ils n'ont pas encore consommé leur mariage?

Expldr! Quoi tu veux pas que le pauvre Roi (déjà presque cocu) se mêle au bas peuple non plus! looool!

Bien pour ce qui est de la consommation, j'imaginais plutôt que c'était déjà fait puisque l'inverse était dans le temps une cause majeure de rupture d'union... Mais en même temps, je pensais que les étreintes conjuguales devaient être plutôt rares étant donné les dispositions de Guenièvre mais si tu vois les choses sous un angle différent je ne vois aucun inconvénient à en discuter...

Non au contraire c'est exactement comme ça que je le voyais mais j'avais crut comprendre que toi tu le voyais autrement... bref bref

De toute façon y a une hypothese (toutes les hypotheses sont permis pour une légende... je sais pas pq je dis ça ) comme quoi Guenièvre serait stérile, donc c'est tout à fait normal qu'y ai pas d'héritiers... T'as mal choisi mon vieux!

Aprend a connaitre son frère....c'est long....très long....quelle heure il est...finit enfin...

Dis messire mon frère le Roi...Dame Maman c'est Igerne par Ygerne, vous insultez feue sa mémoire....
Et point beaucoup plus grave...Z'AVEZ MEME PAS MENTIONNE VOTRE PETITE SOEUR QUI S'APPLIQUE A VOUS CASSER LES PIEDS DEPUIS DEUX BONNES ANNEES !!!!


Véxée la frangine !
Ah les hommes, tous les memes

PS: je plaisante bien sur

Lol! T'en fait pas, t'en fais pas! On a l'humour facile ici!
C'est vrai que j'y ais pensé et je vais éditer mais seulement un petit truc me chiffonait... C'est que Morgane est issue du lit Goroi/Igerne (qui s'écrit indéfféremment d'ailleurs mais je sais pas pquoi je préfères avec le Y) et est donc forcément plus agée qu'Arthur... il semble donc qu'il te faille un peu vieillir ma chère et tendre soeur! Désolé! lol!

Et nan ! Parce que justement, en étant fille légitime du couple, lorsque ton fripon de papa a abusé de ma maman, celle ci n'avait pas encore d'enfant...ce qui fait que je suis arrivée après leur petite escapade..en gros mon papa a repris possession...du territoire...

Bah il était mort... en tout cas dans la version de Evy! Et comme on respecte pas à la lettre pres la légende (qui connait plusieurs version d'ailleurs)... bah... c'est vrai qu'il y a incohérence

Ah ouais mais dans ces cas là ça ne colle plus vu que Morgane a été mariée a 20 ans au Roi de Gorre...hors si elle a PLUS de 28 ans...

Probleme...

Bah t'as qu'a dire qu'elle a butté le Roi de Gorre... LOL!
Nan mais tu peux changer un peu et faire genre qu'elle se marie au Roi de Gorre à 30 et qu'elle en a 29... pis voilou! Ou alors Arthur nous propose eine andere Idee?

Bien à vrai dire la mort de Goroi, dans mes différentes lectures, arrive toujours à ce moment là... (bon pour le coup de la même nuit, j'avoue que c'est uniquement de moi je trouvais ça terriblement ironique! lol!)
Mais bon en gros, il a bien été tué pendant cette bataille, avant donc la naissance d'Arthur...

Je prend un de ces coups de vieux...terrible !

Ce peut te faire que du bien
De toute façon Morgane l'herboriste a bien des cremes anti-rides dans sa pharmacie?

....bon j'ai 28 ans et demi alors Vais me taper les vieillards du coin...d'ailleurs il est ou Merlin

Mdr! D'ailleurs je me demandais ce qu'on faisait de Mordred, notre fiston incestueux... lol! Alors c'est comme tu le sens... lol!

D'accord, vieille fille de 28 ans mère celibataire sans pouvoir magique...vais la changer rapidement l'histoire moi !!!!!
Pour Mordred je pense qu'on peut pas vraiment le zapper comme ça vu qu'il sera responsable de ta mort, mon cher petit frère
Euh...ta femme me regarde méchament là...

Arghhhhh ! Mordred ! L'inceste ! Au secooouuuuurs !!! Vous voulez faire clamser le jeune prêtre ? MDR !

Citation :

On a l'humour facile ici...

Ah bon ? Nan ? J'avoue que ça me surprend depuis le temps...

Bah pour Mordred, j'avoue que je suis partagée. Comme tu décris Arthur, il est difficile de le voir se glisser dans la couche de sa vieille (expldr !) soeurette en pleine nuit !

Enfin : Bravo, bravo pour ta fiche. Chapeau pour avoir réussi ce tour de force, ça n'était pas facile de mixer légende et histoire... Je m'incline bien bas, chère Evy.

Bon alors je pensais à un truc.

Soit Morgane tu veux toujours la vieillir, soit tu peux simplement dire qu'elle est née d'Ygerne et d'un autre gars apres (Ygerne se serait balladée ailleurs sans le dire à papounet d'Arthur, ou alors elle se serait re-fait enlever bref bref bref)

D'autre part, on peut faire Mordred si vous le souhaitez... Pareil y a plusieurs possibilités. Soit on fait vraiment un inceste (Morgane aurait drogué son frerounet, ou alors lui serait rentré soul d'une réunion à la rable ronde mdr, ou alors il en aurait eu marre, repoussé pour la énieme fois par Guenièvre et il se serait vengé sur Morgane.. mdr!) soit le père n'est pas Arthur (qu'il soit connu ou inconnu par Morgane...) et l'herboriste raconte à tout vent qu'il est le fils du Roi pour monter Mordred contre son père ou bien simplement pour entretenir la légende...

enfin c'est des ptites idées comme ça faut me dire ce que vous en pensez

Eh bien ma chère Eli tu aurais voulu écrire la légende que tu n'aurais pas fait mieux! lool! Parce que tu as tout à fait raison, l'inceste ne s'est pas passé "Tiens je me ferais bien ma soeur moi..." (excusez le langage trivial... ) Lau, respire je t'en prie! Elle vire au violet, il faut faire quelque chose! loool!
En réalité, à ce moment là Morgane et Arthur ne se connaissaient pas et n'avaient aucune idée des liens de sang entre eux... Et selon certaine version, Arthur aurait même été drogué... Vous voyez bien que j'y suis pour rien moi!
On peut toujours créer Mordred (comme tu dis Morgane il me semble assez important puisque c'est quand meme le vainqueur d'Arthur...) mais en laissant le doute planer: pour Arthur c'est juste son neveu et point... Après reste à savoir si Morgane sait la vérité ou pas... Je pense que ça peut etre un perso qui met du piment... (et quel piment! loool!)

PS: Et si ça peut te décomplexer Morgane, on dit toujours qu'elle fait bien bien plus jeune que son âge grâce à ses connaissances des plantes etc...

Ouf ! Je respire mieux ! Mdrrrr !
C'est super comme idée. Ca serait encore mieux quand quelqu'un viendra nous demander d'incarner Mordred. Et là, mon pauvre Arthur, tu auras de nombreux fronts où te battre ! Entre un fils-neveu, incestueux ou pas, et une femme volage et infidèle... Je vais peut-être reconsidérer ton accession au Paradis !

De toute façon on ne va pas faire un RP "création de Mordred"
D'autant plus que dans certaines légendes, il est le neveu de Morgane...compliqué là ! Et dans le livre c'est bien son fils, mais elle l'a a l'age de 24 ans, donc elle est déjà mariée. ..personne n'aurait un efferalgan...?
BON alors d'accord pour l'idée que Morgane est bien la fille de sa mère mais pas de son père, donc elle redevient la PETITE soeur du Roi, qui devient l'oncle de son fils, au lieu du père de son neveu....PASSEZ MOI UN MARTEAU !!!!

Enfin je crois qu'on en voit le bout ! Morgane= piment de 20 pijes environs...future maman de Mordred....et personne ne connait son père. D'ailleurs elle pourra dire qu'il est le fils de son mari. Tout s'arrange

Ca !!!!! ça demande un apéro !!! Ah si !

*te tend un marteau* Frappe moi d'abord s'il te plait... Merchi! mdrrr!
Bon écoute je te fais confiance hein soeurette! loool! Tu m'appelles pour le bapteme! mdrr!

Héhé, ce que ça peut être naïf un grand frère
Tu crois vraiment que moa, grande pretresse d'Avallon, fille dévouée de la déèsse mère je vais faire baptiser mon fils !!!
Ralala, pauvre petite truffe

Bon alors Morgane il faut que tu édites ta présentation du coup! :p

Oui j'y vais j'y vais j'y vais !!!! C'est bon !
J'y vais de suite ta majesté